L’occultisme désigne un groupement des sciences et arts occultes. La science occulte regroupe ainsi l’alchimie, l’astrologie, la magie, et la divination. Bref, elle touche aux secrets de la nature, et à tout ce qui est invisible. Ces exercices sont estimés par la science tels des pseudosciences. Le terme « sciences occultes » provient du titre d'un livre dont l’auteur est Eusèbe de Salverte en 1829. C’était « Des sciences occultes ». Mais le mot occultisme, en français, ne ferait son apparition qu’en 1842.
Définition de la notion d’occultisme
Du point de vue étymologique, le mot occultisme vient du latin occultus, et qui signifie connaissance de ce qui est caché. Il se réfère à des règles associées à des concepts surnaturels, secrets, considérés par la science matérialiste et rationaliste comme fondée à partir d'un angle de raisonnement et ainsi désigné sous l’appellation pseudoscience. De plus, il s'intéresse aux savoirs occultes, parallèlement à l’exercice des arts occultes. Le nom science occulte est autant utilisé aujourd’hui, par antinomie à la science anachronique qui décrit particulièrement l'univers visible. De même, les travaux occultes sont généralement indifférents vis-à-vis des humains ordinaires. Pour plus d'informations, veuillez cliquer ici loraygwonde.fr
Bibliothèque et Sciences occultes : est-ce une invraisemblable alchimie ?
Si le travail consiste à un examen sur les impasses déontologiques et bibliothéconomiques posées par la place des disciplines occultes en bibliothèque. Il était évident qu’on ne pouvait nourrir la réflexion qu’à partir d’un travail notionnel préalable. Comment, par ailleurs, concevoir un modèle commun de questions judicieuses pour les bibliothécaires, si l’on ne dispose d’un tant soit peu réfléchi les complications particulières engendrées par des ouvrages relatifs à l’ésotérisme ?
Pratiquement, il semble que deux grands éréthismes serviraient de points de départ de la recherche. D’une part, l’éréthisme ou chamanisme existant entre un illusoire des éruditions occultes tels que des savoirs douteux, ou des connaissances sulfureuses, et la bibliothèque incarnant les fonctions de diffusion d’émancipation intellectuelle et de savoir.
Historiques de l’occultisme occidental
Depuis le XVIe siècle, la différence entre sorcellerie, divination et magie, divination n'existe pas. La légende raconte qu’Ostanès, le mage, possède tout l'art de l'astronomie, de l'astrologie, de la philosophie, des belles-lettres, des sacrifices, des mystères et enfin celui du travail de l'alchimie. Le Picatrix, un traité de magie orientale écrit vers 1050, débute par donner une définition que la nécromancie est cachée au désarroi et que la majorité des hommes ne remarquent pas comment elles se font. Ainsi, dans le temps, les Interventions Occultes étaient nécessaires pour la civilisation ancienne. Cette discipline est divisée en trois phases.
La première, basée sur l’invocation, est pratique. Là, les « opérations consistent à faire lier un esprit à d’autres esprits. La deuxième partie, qui est la conception des images via les talismans, consiste à induire une intellection dans un corps. C’est comme si on introduit un esprit planétaire à l’intérieur d’un objet. Et l’étape finale, qui est la troisième phase, c’est l'alchimie. Elle est l'induction d'un corps dans un autre corps. Un éthnothérapeute a recours à la science occulte également. Comme son nom l’indique, l’Éthnothérapie est presque une médecine qui consiste à guérir le problème social du peuple.